Départ de l'EHPAD, arrivée du CPAR ou l'histoire d'une municipalité saint-lysienne inefficace
Nous présentons aux Saint-Lysiennes et aux Saint-Lysiens le procès verbal du conseil municipal de Fonsorbes, du 27 novembre 2019, qui acte le départ de la maison de retraite Joie de Vivre de St-Lys pour Fonsorbes. Il permet de mettre en lumière les manquements de la municipalité de M. S. Deuilhé qui ont débouché sur le projet de CPAR :
-La passivité du maire décrite par Mme Danes de DOMUSVI qui a 'la Joie de Vivre' : " Nous avons eu quelques petits échanges avec la mairie de St-Lys (...) qui finalement se [sont] bien résolus." (page 3) De plus, l'ARS et le CG31 n'était pas particulièrement enthousiastes sur l'idée du transfert de prime abord.
-DOMUSVI dit bien, toujours à la même page, que "Nous manquons cruellement de locaux (...) Il y avait donc deux solutions : soit nous agrandissions "La Joie de Vivre", soit nous construisions." Or Saint-Lys a la place pour un agrandissement ou pour reconstruire cet EHPAD.
-À la page 8, M. Pilet pose une question intéressante sur le devenir du bâtiment de St-Lys où l'on voit bien que rien de concret n'est prévu par la mairie St-Lys pour le devenir du bâtiment désaffecté.
-Nous connaissons la suite, la nature ayant horreur du vide, l'État a saisi l'occasion en nous imposant un Centre Pour l'Aide Au Retour (CPAR) pour demandeurs d'asile déboutés de 126 places. Ce projet est démesuré pour la taille de notre commune.
Bonne lecture.