8 mars, journée internationale des droits des femmes

Publié le par Nicole Dédébat

8 mars, journée internationale des droits des femmes
Samedi 8 mars 2025 :
Journée internationale des droits des femmes
En France.

Près de cent-cinquante féminicides par an, un décès tous les deux jours, début février 2025, douze féminicides dénombrés depuis le début de l’année, des chiffres en hausse d’année en année.

Les violences intrafamiliales qui rendent les enfant d’un ménage co-victimes sont en constante évolution.

Ces violences s’exercent dans tous domaines, travail, couple, famille, transports, rue, sous forme de violences physiques, psychologiques, économiques.

Il convient de ne pas oublier des faits moins fréquents mais tout aussi insupportables comme les mutilations sexuelles, les mariages forcés, l’inceste, la prostitution des mineures, l’esclavage moderne, les cyberviolences qui persistent en notre pays.

 

Dans le monde.

Le sort des femmes est souvent pire : les mutilations génitales des petites filles, les mariages des enfants, les femmes victimes de trafic humain, et toutes formes de violences intra-familiales.

De plus les femmes afghanes se voient privées de leur droits fondamentaux à la dignité humaine, elle doivent être invisibles aux yeux des talibans, ceci au mépris du droit international. L’indifférence des militants féministes radicaux prompts à toute mobilisation publique pose question...C’est un apartheid de genre.

Ces femmes ont toutefois le statut de réfugiées et peuvent obtenir en Europe le droit d’asile.

Partout dans le monde les femmes restent la proie des guerriers...

 

Ce 8 mars devrait être une journée de sensibilisation et mobilisation des élèves scolarisé·e·s pour les droits des femmes et l’égalité entre filles et garçons.

Nous devons combattre les croyances toxiques au cœur du problème et déconstruire ce cercle vicieux lié à la masculinité dominante.

 

Mettons fin ensemble, les acteurs de la vie sociale, à toutes ces violences faites aux femmes et aux filles.

 

À Saint-Lys.

Nous attendons à Saint Lys plus de logements d’urgence afin d'accueillir les femmes et enfants victimes de violences conjugales ( violences qui augmentent).

C’est le moins que notre collectivité doit faire.

 

Nicole Dédébat, élue Imagine Saint-Lys
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